J'aimerai vous parler des trois chanteurs que je préfère parmi tous ceux que j’écoute :
Le premier, Yves Duteil, j’aime bien sa voix grave et douce qui donne envie d’écouter ses chansons. Celles - ci sont parfois touchantes, émouvantes ou amusantes.
La première chanson de lui que j’ai entendu, c’est " Prendre un enfant par la main " à 7 ans en CE1 quand notre instituteur nous l’a fait chanté.
J’ai eu l’occasion de le voir en concert au théâtre de Tarascon en novembre 2009, cela m’a beaucoup plu, j’ai bien rit avec ses chansons " La rumeur " et " Avoir et être ", certaines m’ont tellement touchée qu’à un moment, j’étais même au bord des larmes. Yves Duteil a écrit, composé et chanté des chansons pour sa femme, sa fille, son petit-fils, les enfants, contre la guerre, sur les femmes battues, etc …
En voici, quelques-unes :
Pour sa femme, Noëlle
Le simple fait que tu existes
Les étoiles une à une
S'allument au ciel du soir
Je regarde la Lune
Rose sur ce fond noir...
Moi je t'aime...
Comme un arbre porte ses fruits
Comme la Lune aime la nuit
Je ne peux pas te dire pourquoi
Je crois que je suis né pour toi
Je ne veux pas que tu sois triste
Le simple fait que tu existes
Est pour moi un tel réconfort
J'ai besoin que tu m'aimes encore
Moi je t'aime...
Comme un volcan sort du sommeil
Comme un fruit gorgé de soleil
Comme un saumon dans un torrent
Qui remonte à contre-courant
Où que tu sois sur l'horizon
Tu es ma route et ma maison
Ma sagesse et ma déraison
Le premier mot de ma chanson
Et je t'aime...
Encore plus fort qu'auparavant
Comme un ami, comme un amant
Comme une vague se soulève
Pour venir caresser la grève
Il ne faut pas que tu sois triste
Le simple fait que tu existes
Est pour moi un tel réconfort
Je voudrais que l'on s'aime encore
Où que je sois dans l'univers
Tu es ma force et ma lumière
Et j'avance dans la nuit noire
Là où tu poses ton regard
Moi je t'aime...
Comme un arbre porte ses fruits
Comme la lune aime la nuit
Je ne peux pas te dire pourquoi
Je crois que je suis né pour toi
Au dernier vers de la chanson
Quand les étoiles disparaîtront
Il restera sur l'horizon
Ta sagesse et ma déraison
Pour sa fille, Martine
Jusqu'où je t'aime
Si jamais tu me demandes
Jusqu'où je t'aime
Et si quand tu seras grande
On s'aimera quand même
S'il fallait que je te dise
Tout mon amour
Même en ouvrant les bras
Ça ne suffirait pas
Moi mon amour pour toi
Je crois bien qu'il va
Jusqu'au bout du monde et de la mer
Et du soleil et jusqu'au bout des étoiles
Au-delà du fond des galaxies
Dans l'infini de l'univers sidéral
Aussi loin que porte le regard de mon coeur
Jusqu'au bout du ciel et jusqu'au fond du bonheur
Je t'aime aussi loin
Moi voilà comment je t'aime
Et c'est pour toujours
Ça s'écrit dans mon coeur même
Jour après jour
Pour en prendre la mesure
Sans se tromper
Il faudrait un cadran
Si beau si gros si grand
Que rien qu'en le posant
Il irait sûrement
Jusqu'au bout du monde et de la mer
Et du soleil et jusqu'au bout des étoiles
Au-delà du fond des galaxies
Dans l'infini de l'univers sidéral
Jusqu'à des frontières dont tu n'as jamais rêvé
Au-delà des heures et jusqu'à l'éternité
Je t'aime aussi loin
Jusqu'au bout du monde et de la mer
Et du soleil et jusqu'au bout des étoiles
Au-delà du fond des galaxies
Dans l'infini de l'univers sidéral
Jusqu'au cœur des glaces et jusqu'au fond du désert
Jusqu'au bout du ciel et dans un autre univers
Je t'aime aussi loin
Si jamais tu me demandes
Jusqu'où je t'aime
Je t'aime aussi loin...
Pour son petit-fils
Si j’étais ton chemin
Assis près du grand saule, au milieu du jardin
Comme à tes premiers jours, penché sur ton couffin
Quand je berçais tes rêves à la tombée du soir
J'essaie d'imaginer le cours de ton histoire
Les lignes de ta main, si j'étais ton chemin
Je me ferais discret dans l'ombre de tes pas
Pour t'aider à grandir et pour t'ouvrir la voie
Je serais la poussière qui s'envole à tes pieds
Un peu de mon bonheur qui colle à tes souliers
Je t'aimerais au point de te lâcher la main
Pour que tu sois le seul à choisir ton destin
À destiner ta route en puisant au hasard
Les raisons d'espérer et la force d'y croire
Si j'étais ton chemin, si j'étais ton chemin
Je construirais des ponts, des tunnels, des ouvrages
J'ouvrirais des sentiers partout sur ton passage
Pour que tu puisses aussi t'écarter quelquefois
Des pistes balisées qu'on a tracé pour toi
Je t'apprendrais les mots pour soigner les blessures
Les signes éparpillés le long de l'aventure
Pour te montrer le Nord quand tu te crois perdu
Les silences attendris de ceux qui ne sont plus
Mais qui tiendraient ta main, si j'étais ton chemin
J'irais cueillir ton rêve au plus fort de la nuit
Le planter dans la terre et l'inonder de pluie
De lumière et d'amour, au soleil de midi
Pour que tu rêves encore, chaque jour de ta vie
Je ne t'épargnerais ni le temps ni l'effort
Pour que tu sois debout devant les coups du sort
Solide et résistant face à l'adversité
Riche de ton courage et de ta liberté
Et je déposerais quelque part une pierre
Pour te laisser t'asseoir, offrir une prière
À tous ceux dont l'histoire t'a mené jusque-là
Et pour ceux qui suivront la trace de tes pas
Si j'étais ton chemin, si j'étais ton chemin
Et nous serions semblables aux bulles de savon
Qui font la route ensemble et puis qui se défont
Dans le même courant, chacun de son côté
Mais sans aucun désir, au fond, de s'éloigner
Puis, je m'effacerais comme un sentier se perd
En refaisant parfois le chemin à l'envers
J'aurais le sentiment d'avoir rempli mon rôle
Et je m'endormirais à l'ombre du grand saule
Où je berçais sans fin le début de ta vie
Au-delà des bonheurs partagés en commun
Saurais-je alors enfin si j'étais ton chemin, si j'étais ton chemin ?
Pour les enfants
Histoire d'amour
J'ai une grande histoire d'amour
Avec les enfants qui m'entourent
Ils m'accaparent ils me capturent
Ils me ligotent et me torturent
Puis ils s'endorment dans mes bras
Alors je fonds comme un iceberg au Sahara
Je fais des gares avec Romain
Et des viaducs et des tunnels
Pour regarder passer ses trains
Entre les verres et la vaisselle
Je raconte un soir à Clémence
Le grand voyage du goéland
Le lendemain je recommence
En ajoutant deux continents
Puis je danse avec Alicia
Qui n'aime que moi et les grands airs de l'Opéra
Je crois que je suis l'un des leurs
Je suis né pour sécher les pleurs
Comme le Renard du Petit Prince
Ils m'apprivoisent et ils m'attachent
Avec des fleurs...
J'ai une grande histoire d'amour
Avec les enfants qui m'entourent
Quand ils me parlent au téléphone
C'est dans mon cœur que ça résonne
Et s'ils se pressent autour de moi
Alors je fonds comme un igloo dans un sauna
Je fais des gammes avec Céline
Pour la joie de la voir passer
Sans faire de bruit par la cuisine
Au bocal des bonbons cachés
Et je chante avec Émilie
Qui voudrait bien devenir une star
Elle m'accompagne à la mairie
Je l'accompagne à la guitare
Puis je danse avec Alicia
Qui n'aime que moi et le final de la Tosca
Je crois que je suis l'un des leurs
Que j'ai dû grandir par erreur
Comme le géant de Gulliver
Je suis toujours assis par terre
A leur hauteur
J'ai une belle histoire d'amour
Avec les enfants qui m'entourent
Souvent j'y pense avec bonheur
Mais s'ils devaient grandir ailleurs
J'aurais si mal au fond du cœur
Que je fondrais comme une banquise à l'équateur
J'irais chez Romain le Dimanche
Pour faire des passages à niveau
Des barrages et des avalanches
Avec lui dans les caniveaux
J'enverrais des cartes à Clémence
Et des timbres au monde entier
Postés du cœur de son enfance
Par son goéland préféré
J'irais au concert de Céline
Pour le plaisir de lui porter
Quelques douceurs de ma cuisine
Et peut-être un bocal entier
Et je chanterai pour Émilie
Qui signera des autographes
Après son show à la sortie
En posant pour les photographes
Puis j'irai retrouver Alicia
A l'Opéra pour sa première de la Tosca
A l'Opéra pour sa première de la Tosca
Je suis né pour sécher les pleurs
Et si j'ai grandi par erreur
Je crois que je resterai toujours l'un des leurs.
Contre la guerre :
Pour les enfants du monde entier
Pour les enfants du monde entier
qui n'ont plus rien à espérer
je voudrais faire une prière
à tous les maîtres de la terre
à chaque enfant qui disparaît
c'est l'univers qui tire un trait
sur un espoir pour l'avenir
de pouvoir nous appartenir
j'ai vu des enfants s'en aller
sourire aux lèvres et cœur léger
vers la mort et le paradis
que des adultes avaient promis
mais quand ils sautaient sur les mines
c'était Mozart qu'on assassine
si le bonheur est à ce prix
de quel enfer s'est-il nourrit
et combien faudra-t-il payer
de silence et d'obscurité
pour effacer dans les mémoires
le souvenir de leur histoire
quel testament quelle évangile
quelle main aveugle ou imbécile
peut condamner tant d'innocence
à tant de larmes et de souffrances
la peur, la haine et la violence
ont mis le feu à leur enfance
leur chemin se sont hérissés
de misère et de barbelés
peut-on convaincre un dictateur
d'écouter battre un peu son cœur
peut-on souhaiter d'un président
qu'il pleure aussi de temps en temps
pour les enfants du monde entier
qui n'ont de voix que pour pleurer
je voudrais faire une prière
à tous les maîtres de la terre
dans vos sommeils de somnifère
où vous dormez les yeux ouverts
laissez souffler pour un instant
la magie de vos cœurs d'enfants
et puisqu'on sait de par le monde
faire la paix pour quelques secondes
au nom du père et pour Noël
que la trêve soit éternelle
qu'elle taise à jamais les rancoeurs
et qu'elle apaise au fond des coeurs
la vengeance et la cruauté
jusqu'au bout de l'éternité
je n'ai pas l'ombre d'un pouvoir
mais j'ai le coeur remplie d'espoir
et de chansons pour aujourd'hui
qui sont des hymnes pour la vie
et des ghettos des bidonvilles
du coeur du siècle de l'exil
des voix s'élèvent un peu partout
qui font chanter les gens debout
vous pouvez fermer vos frontières
bloquer vos ports et vos rivières
mais les chansons voyagent à pied
en secret dans des coeurs fermés
ce sont les mères qui les apprennent
à leurs enfants qui les reprennent
elles finiront par éclater
sous le ciel de la liberté
pour les enfants du monde entier . . .
pour les enfants du monde entier...
Pour les femmes battues.
Où vis-tu Pauline ?
Où vis-tu, Pauline, à présent ? Est-ce que tu t'appelles autrement ?
Quatre fois les roses ont fleuri, depuis que tu n'as plus écrit
Ta maison reste inoccupée comme ta place à nos côtés
Bien souvent, tu nous as manqué, ton silence a laissé les clefs
Au village ici, tout va bien, Hélène y croit de moins en moins
Mais elle prépare encore pourtant l'anniversaire pour les enfants
Comment fait-on pour retrouver quelqu'un qui veut vivre caché
Pour échapper à son passé quand nul n'a pu la protéger ?
Les femmes ont-elles une autre issue
Quand elles sont menacées, battues
Que de se fondre dans la nuit pour espérer rester en vie ?
Mais peut-être aurait-il suffi qu'on regarde d'un peu plus près ta vie
Tu as résisté, combattu, assumé, fait face et tenu
Devant la honte et la souffrance jusque dans l'indicible outrance
Tu t'étais presque résignée lorsque la mort s'est approchée
Il s'en est fallu d'un instant mais pour l'amour de tes enfants
Tu as appelé au secours en supposant, dans ce recours
Que ton calvaire allait finir mais le pire était à venir
Et c'est toi qui as dû t'enfuir en laissant là tes souvenirs
Couper les ponts vers le présent, t'arracher à ta vie d'avant
Abandonner tous tes amis, les protéger peut-être aussi
Contre la violence ordinaire sans que quiconque ait rien pu faire
Pour toi-même et pour les petits, exposés à la peur ici
Disparaître était ta seule chance pour continuer votre existence
Où vis-tu, Pauline, à présent ? Fais-nous signe si tu m'entends
Quatre fois les roses ont fané depuis que tu nous as quittés
Ta maison reste inoccupée comme ta place à nos côtés
Bien souvent tu nous as manqué, la violence a laissé les clefs
Mais sans doute aurait-il suffi qu'on regarde d'un peu plus près ta vie
Une amusante :
La rumeur
La rumeur ouvre ses ailes
Elle s'envole à travers nous
C'est une fausse nouvelle
Mais si belle, après tout
Elle se propage à voix basse
À la messe et à midi
Entre l'église et les glaces
Entre confesse et confit
La rumeur a des antennes
Elle se nourrit de cancans
Elle est bavarde et hautaine
Et grandit avec le temps
C'est un arbre sans racines
À la sève de venin
Avec des feuilles d'épines
Et des pommes à pépins
Ça occupe, ça converse
Ça nourrit la controverse
Ça pimente les passions
Le sel des conversations...
La rumeur est un microbe
Qui se transmet par la voix
Se déguise sous la robe
De la vertu d'autrefois
La parole était d'argent
Mais la rumeur est de plomb
Elle s'écoule, elle s'étend
Elle s'étale, elle se répand
C'est du miel, c'est du fiel
On la croit tombée du ciel
Jamais nul ne saura
Qui la lance et qui la croit...
C'est bien plus fort qu'un mensonge
Ça grossit comme une éponge
Plus c'est faux, plus c'est vrai
Plus c'est gros et plus ça plaît
Calomnie, plus on nie
Plus elle enfle se réjouit
Démentir, protester,
C'est encore la propager
Elle peut tuer sans raison
Sans coupable et sans prison
Sans procès ni procession
Sans fusil ni munitions...
C'est une arme redoutable
Implacable, impalpable
Adversaire invulnérable
C'est du vent, c'est du sable
Elle rôde autour de la table
Nous amuse ou nous accable
C'est selon qu'il s'agit
De quiconque ou d'un ami
Un jour elle a disparu
Tout d'un coup, dans les rues
Comme elle était apparue
À tous ceux qui l'avaient crue...
La rumeur qui s'est tue
Ne reviendra jamais plus
Dans un cœur, la rancœur
Ne s'en ira pas non plus.
Le deuxième est Gérard Lenorman, la première chanson de lui que j’ai connue, c’est "Michèle", que j’ai chanté en cours de musique au collège, puis " Voici les clès " entendu à la radio, puis d’autres grâce à des disques vinyles.
Depuis, j’aime bien ce chanteur et ses chansons. Il y a lui aussi une voix douce.
Il a écrit " La ballade des gens heureux" parce qu’il voulait faire une chanson qui réunisse tout le monde. " Gentil dauphin triste " à cause du film " Les dents de la mer " et de la violence qu’il contient.
Voici quelques-unes de ses chansons :
Michèle
Tu avais à peine quinze ans
Tes cheveux portaient des rubans
Tu habitais tout près
Du Grand Palais
Je t'appelais le matin
Et ensemble on prenait le train
Pour aller, au lycée.
Michèle, assis près de toi
Moi j'attendais la récré
Pour aller au café
Boire un chocolat
Et puis t'embrasser
Un jour tu as eu dix-sept ans
Tes cheveux volaient dans le vent
Et souvent tu chantais :
Oh ! Yesterday !
Les jeudis après-midi
On allait au cinéma gris
Voir les films, de Marilyn
Michèle, un soir en décembre
La neige tombait sur les toits
Nous étions toi et moi
Endormis ensemble
Pour la première fois.
Le temps a passé doucement
Et déchu le Prince Charmant
Qui m'offrait des voyages
Dans les nuages
On m'a dit que tu t'es mariée
En avril au printemps dernier
Que tu vis, à Paris.
Michèle, c'est bien loin tout ça
Les rues, les cafés joyeux
Mêmes les trains de banlieue
Se moquent de toi, se moquent de moi
Michèle, c'est bien loin tout ça
Les rues, les cafés joyeux
Mêmes les trains de banlieue
Se moquent de toi, se moquent de moi....
Se moquent de moi !
Voici les clès
Voici les clés pour le cas où tu changerais d'avis
A ta santé, à tes amours, à ta folie
Je vais tenir mes rêves au chaud et le champagne au froid
Car je t'aime
Et n'oublie pas les dix-huit mois de Nicolas.
Voici les clés, ne les perds pas sur le pont des Soupirs
Elles sont en or on ne sait jamais ça peut servir
Ne t'en fais pas, j'ai ce qu'il faut, on n'est jamais perdant
Quand on aime
J'ai tes bouquins et ton petit chien, eux sont contents
Voici les clés de ton bonheur, il n'attend plus que toi
Appelle-moi si par bonheur elles n'ouvraient pas
Na na na...
Tu sais toujours où me trouver, moi je ne bouge pas
Moi je t'aime
Et n'oublie pas la communion de Nicolas.
Pas de chance, j'allais t'emmener en Italie
En voyage d'amour
Pas de chance moi je t'aime aussi
Et depuis bien plus longtemps que lui
Na na na...
Voici les clés de ton bonheur, il n'attend plus que toi
Na na na...
Tu sais toujours où me trouver moi je ne bouge pas
Moi je t'aime
Et n'oublie pas l'anniversaire de Nicolas.
Voici les clés pour le cas où tu changerais d'avis
A ta santé, à tes amours, à ta folie
Na na na...
Je vais tenir mes rêves au chaud et le champagne au froid
Car je t'aime
Et n'oublie pas l'anniversaire de Nicolas
Voici les clés, ne les perds pas sur le pont des Soupirs
Elles sont en ,on ne sait pas, ça peut servir
Na na na ...
La ballade des gens heureux
Notre vieille Terre est une étoile
Où toi aussi et tu brilles un peu
Je viens te chanter la ballade
La ballade des gens heureux
Je viens te chanter la ballade
La ballade des gens heureux
Tu n'a pas de titre ni de grade
Mais tu dis "tu" quand tu parles à dieu
Je viens te chanter le ballade
La ballade des gens heureux
Je viens te chanter la ballade
La ballade des gens heureux
Journaliste pour ta première page
Tu peux écrire tout ce que tu veux
Je t'offre un titre formidable
La ballade des gens heureux
Je t'offre un titre formidable
La ballade des gens heureux
Toi qui a planté un arbre
Dans ton petit jardin de banlieue
Je viens te chanter le ballade
La ballade des gens heureux
Je viens te chanter la ballade
La ballade des gens heureux
Il s'endort et tu le regardes
C'est ton enfant il te ressemble un peu
On vient lui chanter la ballade
La ballade des gens heureux
On vient lui chanter la ballade
La ballade des gens heureux
Toi la star du haut de ta vague
Descends vers nous, tu verras mieux
On vient te chanter la ballade
La ballade des gens heureux
On vient te chanter la ballade
La ballade des gens heureux
Roi de la drague et de la rigolade
Rouleur flambeur ou gentil petit vieux
On vient te chanter la ballade
La ballade des gens heureux
On vient te chanter la ballade
La ballade des gens heureux
Comme un chœur dans une cathédrale
Comme un oiseau qui fait ce qu'il peut
Tu viens de chanter la ballade
La ballade des gens heureux
Tu viens de chanter la ballade
La ballade des gens heureux
Si j’étais président
Il était une fois à l'entrée des artistes
Un petit garçon blond au regard un peu triste
Il attendait de moi une phrase magique
Je lui dis simplement : Si j'étais Président
Si j'étais Président de la République
Jamais plus un enfant n'aurait de pensée triste
Je nommerais bien sur Mickey premier ministre
De mon gouvernement, si j'étais président
Simplet à la culture me semble une évidence
Tintin à la police et Picsou aux finances
Zorro à la justice et Minnie à la danse
Est c'que tu serais content si j'étais président ?
Tarzan serait ministre de l'écologie
Bécassine au commerce, Maya à l'industrie,
Je déclarerais publiques toutes les patisseries
Opposition néant, si j'étais Président
Si j'étais Président de la République
J'écrirais mes discours en vers et en musique
Et les jours de conseil on irait en pique-nique
On f'rait des trucs marrants si j'étais Président
Je recevrais la nuit le corps diplomatique
Dans une super disco à l'ambiance atomique
On se ferait la guerre à grands coups de rythmique
Rien ne serait comme avant, si j'étais président
Au bord des fontaines coulerait de l'orangeade
Coluche notre ministre de la rigolade
Imposerait des manèges sur toutes les esplanades
On s'éclaterait vraiment, si j'étais président !
{Chœur enfants :}
Si t'étais Président de la République
Pour nous, tes p'tits copains, ça s'rait super pratique
On pourrait rigoler et chahuter sans risques
On serait bien contents si t'étais Président
Je s'rais jamais Président de la République
Vous les petits malins vous êtes bien sympathiques
Mais ne comptez pas sur moi pour faire de la politique
Pas besoin d'être Président, pour aimer les enfants.
la la la la la ..........
Le gentil dauphin triste
Toi mon petit copain
De Corneville Les Bains
Tu n'oses plus te baigner dans la mer
À cause de ce requin
Que les Américains
Ont inventé pour faire peur à ton père
Moi le gentil dauphin
Je n'y suis pour rien
Je ne suis pas méchant tu le sais bien
Si tu me fais la gueule
Je vais rester tout seul
On va rater nos vacances d'été
Moi le gentil dauphin
Je n'y comprends rien
Pourquoi tout ce fracas ce cinéma
Pour un poisson bidon
Un requin de carton
Allez soit chouette envoie-moi ton ballon
Toi la petite Anglaise
Tu rases les falaises
Tu n'oses plus comme l'année dernière
Me grimper sur le dos
Comme sur ta moto
Courir après les chevaux de la mer
Moi le gentil dauphin
Je n'y suis pour rien
Je ne suis pas méchant tu le sais bien
Si tu me fais la gueule
Je vais rester tout seul
On va rater nos vacances d'été
Moi le gentil dauphin
Je n'y suis pour rien
C'est moi qui t'ai donné l'été dernier
L'amour du vent salé
Un goût de liberté
Tu avais promis de m'apprendre à parler
Oh ! oh ! oh ! oh ! que je suis triste
oh ! oh ! oh ! triste triste triste
Il faut vous réveiller
Vous n'allez pas rester
Comme des crabes à marcher de travers
Ou comme des manchots
Plantés au bord de l'eau
En attendant que revienne l'hiver
Moi le gentil dauphin
Je n'y comprends rien
Vous allez chercher quoi au cinéma
Du sang et du malheur
Des larmes et de la peur
Vous feriez mieux d'apprendre à être heureux
Moi le gentil dauphin
Je n'ai peur de rien
Surtout pas d'un requin à sensation
Rangez dans vos cartons
Votre imagination
On ne va pas se gâcher la saison
Oh ! oh ! oh ! oh ! ce serait triste
Oh ! oh ! oh ! triste triste triste
Oh ! oh ! oh ! ce serait triste
Oh ! oh ! oh ! triste triste triste
L’enfant des cathédrale
Cet enfant-là n'était pas de son siècle
Celui des stades et des discothèques
Dans les églises, il aimait se cacher
Pas pour prier mais pour chanter
Il attendait qu'il n'y ait plus personne
Il s'asseyait près du grand harmonium
Et il jouait d'un doigt hésitant
Sans savoir, le cœur battant
Là, dans la cathédrale
Sous une pluie d'étoiles
Des voix lui répondaient
Venues de tous les temps
Il inventait des mots
Qu'il ne comprenait pas
Et il pleurait l'enfant
En écoutant sa voix
Il chante ce soir
Dans ce grand music-hall
Drôle de cathédrale
Pour une drôle d'idole
Qu'elle est loin la sono du bon Dieu !
L'harmonium lui manque un peu
L'enfant des cathédrales
Est tombé des étoiles
Il chante des chansons
A la couleur des temps
Mais n'oubliez jamais,
Bien qu'il chante l'amour,
Qu'il restera toujours
L'enfant des cathédrales
Aventurière des aventuriers
Je t'aimerai derrière les volets fermés
Je te dirai des mots vagues et sucrés
Je t'écrirai des dessins sur le mur d'à côté
Je t'aimerai entre minuit et midi
J'arracherai dentelles et organdis
Je dormirai loin de toi et dans tes yeux aussi
Je t'aimerai moitié violence et poésie
Je sourirai sur tes lèvres si le rouge est mis
Je t'aimerai comme une sweet-sweet melody
Je survivrai à tes ongles vernis
Je t'aimerai en Océanie dorée
Je rêverai dans tes cheveux noués
Je deviendrai simplement comme les vents alizés
Je t'aimerai moitié violence et poésie
Je reviendrai sur tes lèvres si le rouge est mis
Je t'aimerai comme une sweet-sweet melody
Je survivrai à tes ongles vernis
Je t'aimerai derrière les volets fermés
Je voguerai sur ce bateau mouillé
Je te suivrai aventurière des aventuriers
Je te suivrai aventurière des aventuriers
Je te suivrai aventurière des aventuriers
Je te suivrai
Le troisième est C.Jérôme, j’écoute ses chansons depuis plusieurs années maintenant, la plupart sont plutôt rythmée comme " Kiss me ", et " Baby Boy ", d’autres plus douce "Cendrillon, ", " Nuits blanches ", et
" J’t’aime ".
Il a écrit et composée une chanson pour
sa fille, Caroline, " 16 ans déjà ".
Peut-être que vous avez déjà danser un slow
sur " Derniers baisers " ou " Et tu danses avec lui " ?
Voici quelques-unes d'entre elles :
Kiss me
Kiss me, as you love me, prends un coca et assieds-toi
Kiss me, as you love me, ferme les yeux écoute-moi
Ce soir, si tu le veux, dans un grand lit nous serons mieux
J'aimerais te retenir mais en anglais comment le dire
Il y avait un drapeau américain
Sur son sac déchiré
Un blue-jean qui ne valait plus rien
Mais je crois que je l'aimais bien
Kiss me, as you love me, ta cigarette m'énerve un peu
Kiss me, as you love me, tu sais la vie n'est pas un jeu
Demain, au petit jour, nous resterons pour faire l'amour
Un collier rouge et bleu sur ses seins nus
Un foulard en bannière
On voyait un anneau sur ses pieds nus
Prèt á faire le tour de la terre
Kiss me, as you love me, ne t'en vas pas, souris un peu
Kiss me, as you love me, dis-moi good bye mais pas adieu
Il y avait un drapeau américain
Sur son sac déchiré
Un blue-jean qui ne valait plus rien
Mais je crois que je l'aimais bien
Un collier rouge et bleu sur ses seins nus
Un foulard en bannière
On voyait un anneau sur ses pieds nus ...
Baby boy
On l'appelle Baby Boy
Elle joue de la guitare
Le soir après minuit
Dans ma chambre
Je suis seul
Je sais que ça l'ennuie
De dormir dans un lit
On l'appelle Baby Boy
Elle a tout d'un garçon
Quand elle porte un blouson
Et sans faire de discours
Elle dit : "J'vais faire un tour"
Mais elle part pour huit jours
Sa moto rouge
Entre les mains
Elle me fait peur
Lorsque je pense au compteur
Dans sa colère
Elle accélère
D'un air moqueur
Elle se prend pour Mick Jagger
On l'appelle Baby Boy
Elle bouscule les flippers
Et joue pendant des heures
Quand elle gagne la partie
Elle m'embrasse dans le cou
En me traitant de fou
On l'appelle Baby Boy
Et je sais
Que la vie
Est sa meilleure amie
Mais je crois qu'elle a raison
De vivre à sa façon
Avec tant de passion
Sur l'autoroute
Dans le brouillard
A toute allure
Elle dépasse les voitures
Elle roule toujours
Cheveux au vent
Au petit jour
Elle s'endort sur un divan
On l'appelle Baby Boy
Elle retrouve ses amis
Dans un pub
Dans Paris
Et tous les gens la regardent
Quelques garçons s'attardent
Elle est tellement jolie
On l'appelle Baby Boy
Il lui arrive parfois
De pleurer dans mes bras
Je mets mes mains
Sur son coeur
Elle est folle de bonheur
Car elle n'aime que moi
Puis elle repart dans la fumée
Je reste seul encore
Toute une soirée
Les nuits défilent
Mais j'imagine
Qu'elle pense à moi
Et je suis heureux comme ça
Cendrillon
La belle Cendrillon
Dans un carrosse d'or,
Un soir, s'était enfuie
Alors qu'il faisait froid dehors
Pour un petit soulier
Que j'avais ramassé,
J'avais imaginé
Que notre amour pouvait durer
Mais moi, je ne suis qu'un enfant perdu
Pleurant l'amour que je n'ai pas connu
La belle Cendrillon,
Avec ses cheveux d'or,
A laissé dans mon cœur
Un souvenir qui vit encore
Juste après une danse
Qu'elle m'avait accordée,
Je l'ai vue s'éloigner
Sans me donner la moindre chance
La belle Cendrillon,
Avec ses cheveux d'or,
Aurait fait de ma vie
Le rêve d'un enfant qui dort
Quand minuit a sonné
Je l'ai vue s'en aller
Alors que chaque nuit
J'aurais aimé la protéger
Souvent, quand la nuit vient tomber sur moi,
Je vois ses yeux et j'entends sa voix
Mais moi, je ne suis qu'un enfant perdu
Pleurant l'amour que je n'ai pas connu
La belle Cendrillon,
Dans un carrosse d'or,
Un soir, s'était enfuie
Alors qu'il faisait froid dehors
Pour un petit soulier
Que j'avais ramassé,
J'avais imaginé
Que notre amour pouvait durer
Pouvait durer
Pouvait durer
J’t’aime
j'suis pas casse tete,pas palace
j'suis pas tres classe mais j't aime
j'suis pas dragueur,pas frimeur
pas bon danseur mais j't aime
j'suis pas du genre parano
pas mégalo mais j t'aime
j'suis plutôt jeans et moto
faut se qu il m'faut mais j't aime
j' suis pas playboy impecable
caviar a table mais j't aime
j'suis pas newman,pas brando
j'suis pas tres beau mais j't aime
t'auras pas une grande villa
remplis d'villa mais j't aime
t'auras mes rîmes mes chansons
t'auras mon nom oui j't aime
coté t endresse j ai tous s'qu il faut
coté caresse j en ai meme de trop
cherche pas plus loin
je suis tout pres
j'suis se quelqun
que tu cherchais
une fois tu te fache pour un rien
tu me fait chagrin mais j't aime
dés fois tu me quitte puit tu pleur
j' fait tout par coeur mais j't aime
tu ne changeras pas ses certain
mais j' trouve sa bien mais j't aime
il y aura des jours gris et bleus
mais on s'ra 2 oui j't aime
côté tandresse j ai tout s'qu il faut côté caresse j en ai meme de trop
j'suis pas casse tete,pas palace
j'suis pas tres classe mais j't aime
j'suis pas dragueur,pas frimeur
pas bon danseur mais j't aime
j'hériterai pas d'rockphélers
ses pas mon pére ms j't aime
j'suis plutot jeans et moto
faut s qu'il m' faut mais j't aime
Nuits blanches
Le souffle court de tes mots
Quand tu murmures « te quiero »
Tes chuchotements interdits
Ta voix tellement sensuelle
Si belle et rebelle
Le goût secret de ta peau
Cuando besa me mucho
Quand tu te parfumes d'envie
Ma bouche est folle sur tes lèvres
Tes baisers me donnent la fièvre
Quand tu frissonnes de partout
Ça me rend complètement fou
Refrain :
Tout au bout de nos nuits blanches
Y'a des matins bleus
Et des soleils de dimanche
Qu'on voit dans nos yeux
De l'amour en avalanche
Fou et amoureux
A t'empêcher de dormir
A en crever de désir
De tes regards, tes sourires
De nos deux coeurs qui chavirent
Te retenir et crier
A en mourir prisonnier
De tes soupirs, tes baisers
De nos deux corps enchainés
Un long frisson tout à coup
Quand on est joue contre
Tu me caresses du bout des doigts
Tu te blottis contre moi
Je te serre dans mes bras
Le feu qui brûle ton regard
Quand dans tes yeux je m'égare
Lorsque tu as chaud en toi
Ton corps enlacé au mien
Mes mains au creux de tes reins
Y'a plus rien qui nous retient
On se sent tellement bien
Refrain
A t'empêcher de dormir
Dernier baiser
Quand vient la fin de l'été, sur la plage
Il faut alors se quitter
Peut-être pour toujours
Oublier cette plage
Et nos baisers
Quand vient la fin de l'été, sur la plage
L'amour va se terminer
Comme il a commencé
Doucement, sur la plage
Par un baiser
Le soleil est plus pâle
Et nous n'irons plus danser
Crois-tu qu'après tout un hiver
Notre amour aura changé
Quand vient la fin de l'été, sur la plage
Il faut alors s'en aller
Les vacances ont duré
Emportant la tendresse
De nos baisers
Le soleil est plus pâle
Et nous n'irons plus danser
Crois-tu qu'après tout un hiver
Notre amour aura changé
Quand vient la fin de l'été, sur la plage
Il faut alors se quitter
Peut-être pour toujours
Oublier cette plage
Et nos baisers
Et nos baisers...
Et tu danses avec lui
Tu n'as jamais dansé aussi bien que ce soir
Je regarde briller tes cheveux blonds dans le noir
Tu n'as jamais souri si tendrement je crois
Tu es la plus jolie tu ne me regardes pas
Et tu danses avec lui la tête sur son épaule
Tu fermes un peu les yeux c'est ton plus mauvais rôle
Et tu danses avec lui abandonnée heureuse
Tu as toute la nuit pour en être amoureuse
Je suis mal dans ma peau j'ai envie de partir
Il y a toujours un slow pour me voler ton sourire
Et tu flirtes avec lui moi tout seul dans mon coin
Je n'sais plus qui je suis je ne me souviens plus de rien
Et tu danses avec lui la tête sur son épaule
Tu fermes un peu les yeux c'est ton plus mauvais rôle
Et tu danses avec lui abandonnée heureuse
Tu as toute la nuit pour en être amoureuse
Et tu danses avec lui, et tu danses avec lui
Et tu danses avec lui, et tu danses avec lui
Avec lui !
Lui !
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